
Une fois par semaine, il sort de chez lui et de ses gonds. Quelque part. Sur une place. Il marche, bouge, flotte, crie, ose enfin quelque chose. Il se lâche, se dégraisse en quelque sorte. Fuyant sa quiétude organisée, affrontant son inquiétude...

Dans la rue, un tas de décombres. Deux ouvriers s’activent pour déblayer et trier ce fatras d’objets en tous genres. Soudain, ils se prennent à un jeu de construction. De surenchères en supercheries, ils s’approprient les objets et chacun d’eux...